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Affichage des articles du novembre, 2019

L'affaire du huitième coffret

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Dans cette nouvelle enquête, Sherlock Holmes et Edmond Luciole seront confrontés à un bien étrange mystère.  S’il est avéré que des malfrats se sont introduits dans la salle des coffres d’une banque hautement sécurisée, rien n’a pourtant été dérobé.  Qui a pu commettre ce forfait, comment et surtout pourquoi ?  Une enquête contre la montre, puisque l’armée prussienne progresse de manière inquiétante en cette fin d’été 1870 et que la révolte et l'anarchie grondent à #Lyon. En version brochée : https://www.amazon.fr/dp/1699548307/ref=cm_sw_em_r_mt_dp_U_F563DbXWRJ05Z ou ebook : https://www.amazon.fr/dp/B07Y8TVVTK/ref=cm_sw_em_r_mt_dp_U_M763DbKH0CGMD

Le vrai chef de la Sûreté Lyonnaise en 1870

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De Lourdes à Lyon, le vrai Chef du service de la Sûreté  # Lyonnaise  en 1870... Dans mes deux romans, personnages fictifs et personnes ayant réellement existé se côtoient tout au long des enquêtes. Quand un acteur joue un rôle important et que son rôle est trop éloigné de ce qu’il a été réellement, je prends le parti de lui substituer un personnage fictif. C’est le cas de Victor Ardent, le commissaire spécial de la Sûreté de Lyon. Qui était-il vraiment ? En 1870, le commissaire spécial chef de la Sûreté Lyonnaise s’appelait Jean-Dominique Jacomet (voir liste des commissaires spéciaux datant de 1867).  Ses bureaux étaient bien situés au 5 de la Rue Luizerne, qui s'appella quelques temps Rue de la Tunisie, avant de s’appeler Rue du Major Martin (voir plan). Restait à savoir plus sur ce commissaire. Et en fait, ce Jean-Dominique Jacomet n’est pas un inconnu ! Il était commissaire de deuxième classe à Lourdes en 1858 quand une certaine Bernadette Soubirous

La place Bellecour, née il y a 305 ans

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La Place Belle-Cour et Louis XIV, il y a tout juste 305 ans ! Je ne vous apprendrai pas grand chose sur notre magnifique place, dont je vous propose quelques vues au fil du temps.  Elle doit beaucoup à Louis XIV qui y trône en cavalier romain, ne serait-ce que par cette lettre patente du 24 novembre 1714 ! EN 1713, les lyonnais font installer une première statue équestre,  qui sera fondue à la Révolution. L'installation nécessite une machinerie importante. Louis XIV, reconnaissant l'hommage des lyonnais, autorise les échevins à vendre les pourtours de la place.  Charge aux acquéreurs de construire des bâtiments présentant une harmonie architecturale.  Différents plans d'aménagement furent établis en 1714. La place Bellecour naissait véritablement. Voici plusieurs vues de la place Bellecour, d'abord au XVIIIe siècle, une fois la statue installée : Ensuite vers 1870 : Puis en 1935 :